Gardons le Cap de la Bonne Espérance : De Serapis Bey et Babaji
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Gardons le Cap de la Bonne Espérance : De Serapis Bey et Babaji

Bonjour à tous Ô chers Enfants de la Terre.


Serapis Bey Je Suis, Babaji Je Suis, Nous Sommes. Nous venons vous adresser ce message par notre Canal bien aimée Laetitia, notre Sœur, notre Mère cassiopéenne, Altea Amira. Du Collectif de la Loi de UN, elle est, nous sommes, au service de la Vie, au service du Grand Tout, au service du Plan d’Ascension de Gaia Elea Urantia, au service du Plan d’UNité des Multi-Univers.

Nous vous souhaitons la Bienvenue en l’espace sacré de ces nouveaux jours, en l’aube d’une terre pleine de promesse, une terre promise, une terre sacrée, une terre de paix et d’harmonie, une terre unie et fraternelle, en laquelle vous vous retrouverez pour œuvrer à la réalisation d’un merveilleux projet qui a vu le jour il y a des éons de cela. Un projet UNique, pour lequel vous vous êtes engagés, pour lequel vous êtes engagés.


Ce projet est pour l’heure en germination sur votre planète. Ce que 2020, 2021 et les années à venir vous proposent sont pour mieux asseoir les assises, des assises stables, des assises équilibrées, des assises solides, unies et une, en le Beau de la Vie, en le Lumineux du lien d’amour inconditionnel qui de nouveau se tisse en vous, entre vous, en votre royale tapisserie, alors que les blessures profondes du passé font surface, parfois tel le ressac océanique parfois avec mélancolie et nostalgie parfois en le souffle caressant d’une douce brise … oui , vos blessures, les blessures de votre Terre Mère, de votre Humanité, vous sont montrées de la façon la plus juste qui soit pour que vous puissiez les guérir, vous guérir, apposant les baumes sacrés de vos pardons.


Vos pardons sont précieux ne l’oubliez point, ils sont la première porte à franchir, encore et encore,

pour entrer en les arcanes de vos tumultueuses profondeurs terrestres, les illuminer de votre sagesse, de votre amour, de votre compassion, de votre miséricorde …

Soyez humble en vos pardons, soyez sincère en vos pardons, soyez sincère alors que vous vous inclinez envers l’Autre, envers son Soi Divin, envers l’Homme-la Femme que vous êtes aujourd’hui, envers votre propre Soi Divin.

Le Pardon vrai, le Pardon véritable, est un acte d’amour inconditionnel certes, un acte de foi aussi, la foi en la réalisation de votre plan divin, le plan divin de votre frère, de votre sœur, de votre Terre, de votre Humanité.

Acceptez de pardonner. Autorisez-vous à pardonner. Encore et encore.

Avec authenticité et véracité.

Simplement tout simplement.

Avec humilité et honnêteté.

Reconnaissez le Divin de chacun, de toute chose, de toute situation.

Le Cœur pleinement entièrement ouvert, sans tiédeur aucune, pour autant avec fougue, la fougue du courageux qui ose se dévoiler, se mettre à nu, se dépouiller, se montrer en sa crue vérité, une vérité imparfaite certes pour autant sa vérité, celle de l’instant, l‘instant de son pardon, posé déposé avec amour, en la compréhension de ce qui est et se présente en l’ici et le maintenant, en la magie alchimique de ce Don de Soi si simple et pour autant qui demande oui tant de bravoure.


De la bravoure pour pourfendre les voiles de l’Illusion, la Māyā, de votre espace-temps terrestre, cette toile diaphane en laquelle vous vous êtes glissée d’incarnation en incarnation, la tissant à l’infini, l’épaississant en vos nombreuses joutes et autres estocades d’ici et d’ailleurs, la sublimant en l’exacerbé de vos sentiments duels et conflictuels, toile qui aujourd’hui arrive à complétion …


Saurez-vous alors la transcender et la magnifier en le juste de toute chose, en le juste de votre divin, en le juste du divin de votre Terre ? Saurez-vous lui rendre sa cristalline opalescence, sa pureté originelle ? Saurez-vous sublimer réellement vraiment véritablement chaque fil tissé, révélant l’or sacré qui y sommeille, le soyeux, le doux, le beau ? Saurez-vous réaliser cette œuvre alchimique au noir, au rouge, au blanc ?


Nous du Collectif du UN nous le pensons, nous avons foi en vos possibles, nous avons foi en vos Cœurs, en vos Êtres, et de tous temps de toute éternité nous vous apportons avec infini amour tout ce dont vous avez besoin pour y parvenir. A vous maintenant d’en faire bon usage, en les apprentis-sages alchimistes que vous êtes, comprenant que nos enseignements sont sacrés, votre engagement est sacré, et que l’heure oui est à la réalisation des assises de ce merveilleux projet pour lequel vous êtes venu vous incarner.


Aujourd'hui est le premier jour d'une nouvelle année, le premier jour d'une nouvelle ère. Vous entrez présentement en une sphère tout autre de votre entendement terrestre. Vous allez être invité au fil de ces mois à vous placer avec sagesse en le miroir-seuil de vos dichotomies, dichotomies que vous avez d’ores et déjà explorées en 2020 pour mieux les voir, les apprivoiser, les accueillir, les diluer et les distiller.



Tout est là, tout se présente à vous, en le juste de l'instant, vous permettant de vous extraire avec force et intelligence, l'intelligence du Cœur, la force tranquille de votre Vérité, de vos servitudes une et multiples, à votre image, à l'image de votre multi-dimensionnalité.


Tout est si grand, tout est si vaste, tout est si simple pour autant, si vous acceptez de vous abandonner au Feu Sacré de votre Divin, le Divin de votre Terre Mère.


Aujourd'hui se réalisent de grands changements géophysiques, des changements planétaires annoncés il y a de cela des éons, des changements nécessaires, des changements vitaux pour Vous, pour votre Planète, pour votre Humanité.

Tout se place parfaitement, en votre ici et votre maintenant, en votre ici et votre ailleurs. Soyez en assurés. Laissez aller vos pensées égotiques, vos peurs, vos craintes. Soyez en l'Espérance et en la Foi de ce qui s'accomplit. Maintenez-vous-en cela, juste en cela. Le Cœur ouvert. Quoi qu'il advienne. Soyez tout simplement soyez en votre Droiture, en votre Engagement, en votre Présence Je Suis qui s'éveille et illumine le monde, en cette Lumière qui émane de votre Être, cet ami qui est à vos côtés comme nous sommes à vos côtés de tous temps de toute éternité.


Les méandres humains sont un et multiples, les flots émotionnels vous éloignent du rivage du UN pour mieux vous y ramener, encore et encore, jusqu’au jour où enfin nous pourrons tous ensemble accoster au Port de l’Unité. Nous serons prêts, prêts à être et rayonner en le juste de nos Divines Présences, en cette Terre sacrée du UN, cette Terre tant attendue, tant espérée.


Serapis Bey Je Suis, Chohan du quatrième rayon Je Suis, je veille sur la Flamme de l’Ascension, je veille sur le rayon blanc de la pureté en incarnation. Prêtre de l’Atlantide, j’ai vu arriver la vague, je l’ai vu recouvrir notre civilisation, notre continent, oui j’étais présent comme nombre d’entre vous étiez présent.

La Terre a tremblé, je l’ai ressenti comme vous l’avez ressenti.

Les Cieux ont grondé, je l’ai entendu comme vous l’avez entendu.

Il n’était plus permis d’être aveugle, sourd, et indifférent.

Certains se sont retrouvés anéantis, pris au piège, pris au dépourvu, certains ont compris, certains cherchent encore aujourd’hui une réponse, réponse qui est précieusement conservée en votre Cœur et qui se révèlera à vous un jour bientôt lorsque vous serez prêt à l’accueillir, à vous accueillir pleinement entièrement vraiment véritablement, sans leurre, sans faux semblant, sans once d’égo.

Vous serez alors prêt à recevoir cette Réponse du pourquoi de votre chute, son Enseignement, sa Force, la force de son initiation, et c’est alors que vous pourrez me rencontrer en le Temple de la Flamme de l’Ascension, en le Naos, en le Cœur Sacré de ce Temple où j’œuvre.

Pour l’heure aux portes vous êtes, en le seuil vous êtes, en l’antichambre vous êtes.


Soyez humbles. Soyez patients.

Bientôt très bientôt en Présence nous nous retrouverons. Devant les Hauts Conseils. En la Présence des Flammes Sacrées. En la Présence de tous les Êtres qui œuvrent à vos côtés au devenir de cette Planète et de son Humanité, en leur éthéré et en en leur terrestre. Oui bientôt très bientôt ensemble tous ensemble, tous ceux et toutes celles qui seront prêts à être des Rayonnants de la Nouvelle Terre, à la Table du Grand Rassemblement Nous Serons. Soyez en assurés.


Nous nous sommes déjà retrouvés, nous nous retrouvons déjà, et bientôt très bientôt notre Table sera tout autre, dressée de ses plus beaux apparats et atours, et vous serez Présents en vos habits de pure lumière, uni(s), un et en paix, pour célébrer les noces alchimiques de votre Terre, vos noces, les noces de l’Avènement, les noces du Couronnement. Soyez en assurés.


Nous avons Foi en vous, nous confions en votre Cœur pour être en cette Présence à nos côtés en ce jour tant attendu, tant espéré.


Pour l’heure, pour célébrer l’entrée en une nouvelle sphère de votre entendement terrestre, je vous convie en Ancienne Egypte, en cette Terre Sacrée si chère à mon Cœur d’Egyptien, à mon Cœur d’homme et de maître accompli.


Je vous attends nombreux en ce rendez-vous du Solstice d’été, en ma Barque, en la barque de de ma douce et tendre Hatchepsout Maat Ka Ra, en notre barque solaire, symbole de l’union de notre Masculin et Féminin Sacré, symbole de l’union de nos deux terres, symbole de ce couple qui se retrouve et se redresse en toute sa splendeur, allant quérir de Temples en Écoles des Mystères sa juste couronne, la juste couronne de son union sacrée ; en le sacré elle se scelle permettant l’ouverture du Bassin de la Déesse Aphrodite, la Déesse de l’Amour, l’Amour du Divin, l’Amour du Sacré, l’Amour au service du Divin et du Sacré …


En Crête, pour l’équinoxe, le Bien Aimé Maître Hilarion et la Bien Aimée Lady Pallas Athéna vous ouvriront les Portes du Temple Émeraude, le Temple de la Flamme de Vérité. Ensemble, enveloppés du doux manteau d’Aphrodite, vous parcourrez l’île mysthique, berceau de la civilisation minoenne matriarcale, vous goûterez aux délices de la Mare Nostra, vous converserez avec Platon, en le bruissement des Oracles de Delphes …


De Crête, la Terre de la Mère, nous serons en la reliance du Delta du Rhône, sur lequel veille la Bonne Mère, gardienne du Feu de la Flamme de Liberté, Flamme sur laquelle veille le Bien Aimé Paul le Vénitien (Lazare en incarnation) (rayon sacré rose de l’amour inconditionnel) et du Delta du Nil, sur lequel veille Neith, déesse égyptienne des eaux primordiales, identifiée par les Grecs à Athéna.

La Déesse Minoenne aux Serpents (Cnossos) et Ouadjet, la Déesse Cobra protectrice de la Basse Egypte (Delta du Nil), l'uraeus qui orne la coiffe de Pharaon, vous initieront en le Temple des Abeilles, pour récolter le nectar de votre divin féminin sacré et le faire couler en le calice du masculin sacré, unissant alors le couple en une danse serpentaire co-créatrice " co-fécondatrice " co-ensemenceuse de toute éternité.

Sous ma conduite, la conduite de Serapis Bey que Je Suis.


Ces deux retraites initialement annoncées en 2020 se reportent avec justesse et précision en 2021, en cette année 5, le Souffle de Vie, le Souffle de Vérité, qui vient animer le champ de la matière nouvellement labouré et ensemencé de merveilleuses compréhensions bien que bouleversantes, chahutantes, défiantes …

2020 était une année attendue, espérée, sachez la remercier, l’apprécier et l’honorer en cette nouvelle année qui s’amorce, en vous plaçant du mieux possible en votre juste, en la pureté de votre juste divin, en laissant aller ce à quoi vous vous afférez encore, en acceptant de laisser être votre libre volonté divine au cœur de votre incarné humain terrestre terrien, au cœur de votre quotidien.


Serapis Je Suis, Serapis Je vous salue, Serapis Je vous bénis.

 

Bababji Je Suis, je vous salue Ô Enfants de la Terre.

Maître de Sagesse, je me présente en mes robes jaune or, serties d’émeraude, de rubis et de lapis lazuli, des pierres aussi précieuses que vous l’êtes.

Mes robes sont magnifiques certes pour autant simples si simples, et c’est pieds nus que j’avance vers vous, en m’inclinant, humblement, pour vous bénir, bénir vos incarnations présentes et à venir.

Il y a longtemps de cela, fort longtemps, je me suis incarné, j’étais un homme dans un corps d’homme, en sa bassesse, en sa vilainie, je n’ai point oublié, j’ai appris, parfois durement, parfois à mes dépens, parfois de mon gré, parfois en forçant, parfois en acceptant, le chemin vers la sagesse a été long, périlleux, effrayant, puis plaisant, fredonnant, un doux murmure qui berçait mon âme et élevait mon esprit, j’étais de nouveau cet être lumineux duquel je m’étais éloigné, je me laissais guider simplement tout simplement vers le Rivage, acceptant d’être balloté vers d’autres rivages moins hospitaliers, comprenant, acceptant, m’autorisant à me découvrir, à me mettre à nu, en ces contrées parfois hostiles, j’apprenais à maitriser mes colères, mes peurs, mes sentiments contraires, mes chagrins, mes tristesses, j’apprenais à faire confiance à la vie, au juste de l’instant, à la vérité de m’instant, me rapprochant chaque jour consciemment inconsciemment de mon êtreté.


Le Beau, le Merveilleux, se révélait à mes yeux éclairés, mon cœur s’animait, et m’animait, et par-delà la bassesse, la vilainie, oui je le voyais, je l’entendais ce Beau, ce Merveilleux, de toute chose, de tout un chacun, de moi-même. Je m’élevais avec sagesse simplement tout simplement.



Pour autant mes pieds nus continuaient d’arpenter des chemins, des routes, caillouteuses, jusqu’à ce jour ultime du grand voyage. Jamais je n’ai douté. Oui j’ai vacillé, j’ai pesté sur certains cailloux qui s’enfonçaient en mes chairs, pour autant jamais je n’ai douté. J’ai poursuivi encore et encore. J’ai remercié chaque caillou, chaque pierre, chaque gravillon. J’ai demandé pardon. Je me suis pardonné. Et j’ai avancé encore et encore sans jamais cesser de marcher, faisant une halte pour m’abreuver et me nourrir, juste cela. Le temps d’un échange, d’un partage et je reprenais la route. Puis vint ce jour, où je vis l’étincelante lumière du grand soleil central me pénétrer et m’illuminer. Le Divin s’installa en mon Cœur, en mon Corps, me transcenda, pour ne jamais plus me quitter, ni lui ni moi. J’étais ce Divin incarné simplement tout simplement. La Source première primordiale désormais m’abreuvais, me nourrissais, de sa pureté, de la pureté de son amour, un doux nectar que j’exhalais, que j’exhale, partout où mes pas m’emmenais – m’emmène, invitant la multitude à être en ce sillage, au service du tout.


Babaji je suis, peut être m’avez-vous rencontré, peut être me rencontrerez-vous un jour bientôt sur ce même chemin d’éveil qui vous appelle, un chemin sur lequel j’ai choisi de rester pour continuer de vous accompagner Ô Enfants de la Terre en mon corps de manifestation, accompagnant mes Frères et Sœurs des Grandes Fraternités, œuvrant à leurs côtés, à vos côtés, vous mes frères, vous mes sœurs, vous qui êtes de la Grande Famille du UN, vous qui bientôt serez à notre Table majestueusement dressée pour l’occasion :

en toute simplicité, nous célébrerons alors notre ascension ultime, l’Ascension de notre Terre tant aimée et de son humanité chérie.


Babaji Je Suis, au nom de la Flamme de la Sagesse et de l’Illumination Je vous salue, soyez bénis, profondément bénis Ô Enfants de la Terre en devenir.


 

Pour l’heure, c’est à de petits festins que nous vous convions, de petits banquets, petits en l’infiniment grands qu’ils émanent, qu’ils sont, des Momentum de grâce et de co-création uni-terre, des Cercles précieux sacrés, qui vous permettent de vous unir et de découvrir ensemble à nos côtés nous du Collectif de la Loi de UN cet infiniment grand qui réside en vos intériorités, écho à l’infiniment grand de votre Terre et de votre Humanité. Infiniment grands vous êtes, soyez en assurés. Pour autant rappelez-vous d’être humble et simple, à l’écoute du Divin Cœur Sacré, alors que vous cheminez de monts en monts, de plaines en plaines, de fleuves en fleuves, de continents en continents, jusqu’à cette ascension ultime.


Dans la joie de vous accueillir au cœur de l’Ain, dès le samedi 16.01.2021, pour vivre ensemble la Loi de UN, la manifester et l’honorer chaque jour de notre vie.


Paix et Bénédiction en vos demeures,

Lumineusement vôtre,

Laetitia Altea Amira, au nom du Collectif du UN.

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